Les actions violentes décrédibilisent l’écologie

Les événements de sainte soline illustrent à merveille les deux types d’écologie politiques coexistant actuellement en France.
 
L’une est dogmatique et violente, se soucie finalement fort peu de protéger la nature ou de trouver des solutions locales aux problématiques locales comme la gestion de l’eau…Son mobile réel est avant tout anticapitaliste.
Ces mouvements (ou ONG) ont besoin d’une cause, d’un danger impérieux à combattre sans quoi ils s’effondrent.
 
L’autre écologie, incarnée par l’Écologie au Centre s’appuie sur les territoires et les initiatives associatives ou entrepreneuriales pour trouver des solutions aux problématiques locales, en imitant les solutions qui ont fait leurs preuves ailleurs.
Israel, l’australie ont par exemple beaucoup réfléchi à la gestion de l’eau d’irrigation…Pourquoi ne pas les imiter plutôt que de tout casser en agitant des drapeaux rouges ?
 
C’est par le dialogue constructif et la promotion de techniques qui fonctionnent comme l’utilisation des eaux usées dépolluées pour l’irrigation agricole ou le développement de techniques d’irrigation rationnelle adaptées aux changements climatiques.
 
Les actions violentes et spectaculaires détruisant les propriétés privées sont contre productives et décrédibilisent l’écologie, les élus participants à de telles actions ne sont pas dans leur rôle de représentants de la république…Leur premier devoir étant, bien entendu, de respecter nos lois !